En qualification de fichiers, l’outil bureautique s’avère être un élément très important pour votre mission : ergonomie, prise en main aisée, prise de notes, visibilité, possibilité de hiérarchiser, option de partage, compatibilité avec d’autres logiciels… tous les paramètres doivent être bien étudiés par votre centre d’appels offshore afin de pouvoir choisir le programme le plus en phase avec vos besoins et attentes. Aujourd’hui, petite comparaison entre deux membres de la famille Microsoft au sujet de la qualification de fichiers : Word et Excel. Petit repas de famille ou duel fratricide avec Office funéraire à la clé ? Mmmh…
Qualification de fichiers : les arguments pour Word
Certainement le plus populaire de la gamme Microsoft Office, Word part avec un bel avantage en ce sens qu’il détient une certaine popularité, et donc un a priori positif à son avantage, que l’on pourrait exprimer par un bénéfice de l’expérience et de la confiance. En plus de ses fruits de l’âge, Word permet, lors de la qualification de fichiers, de mettre des renvois ou des notes de bas de page, une option très utile pour ajouter des informations complémentaires (lorsque cela s’y prête évidemment) lors de la saisie. Plus agréable à l’écran sur le plan esthétique, Word se distingue par un format assez sympathique sur le plan visuel en comparaison aux grilles tyranniques de son frangin Enfin, Word offre une grande maniabilité (texte, image, saut de ligne), ce qui se traduit au niveau professionnel par un gain de temps non négligeable. Voici donc les arguments en faveur de Word, le traitement de texte de Microsoft. Voyons désormais les atouts de son frère Excel, et son éventuelle congruence avec la mission de qualification de fichiers.
Qualification de fichiers : Excel’s strengths (les forces d’Excel)
Excel, ce tableur plein de cellules signé Office, propose des fonctionnalités certes un zeste plus ésotériques que son frère « W » (prononcez « Dabeul you ») bleu, mais vraiment plus professionnel à certains égards. Par exemple, en termes de calculs, Excel permet d’effectuer des calculs grâce à une de ses fonctionnalités : une barre, située en haut, permet d’entrer une formule et de faire par la suite un calcul. Autre atout, la clarté et l’organisation de l’interface : vous pouvez réaliser des tableaux, avec des lignes homogènes et des colonnes du même acabit, et réaliser les calculs éventuels, tout en restant sur une même page (ou demande un décalage pas trop important en fonction du nombre d’informations). De même, l’outil permet (tout comme Word) de sortir des données chiffrées sous formes graphiques. Ce qui rend l’outil un peu plus agréable au niveau « charme ». Enfin, et c’est là que le contexte est important, Excel est assez adapté à mon sens pour les opérations automatisées (autrement dit, en quantité, qu’il faut « industrialiser en quelque sorte), comme c’est le cas pour la qualification de fichiers. On rentre un intitulé, ou plusieurs, et puis la suite peut devenir mécanique. Au niveau partage, c’est comme Word, c’est assez open. Pour ces raisons, Excel, l’outil des professionnels, pourrait devenir (à moins qu’il ne le soit déjà) le plus populaire en qualification de fichiers. En vert et contre tous ?(!)